Roberto Gonzalez
Un classique de Santiago
On peut le prendre pour un monstre bleu ou une merveille architecturale de son époque, tout dépend du degré de fatigue que l'on a en y arrivant, et des goûts de chacun... Cela dépend aussi de l'hôte, en l'occurrence moi, et de sa prédilection pour le style du début des années 90 qui a inspiré l'architecte cubain Choy.
D'une part, dès le moment où l'on y entre, on perd cette "cubanité" que semblait avoir les autres hôtels vus en chemin, et se transforme en cette ligne uniforme de Meliá.
Mais d'autre part on profite d'un paradis gastronomique et d'immenses piscines, plus typiques d'un complexe hôtelier de luxe que d'un hôtel de ville.
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